J’ai dû rêver trop fort est le douzième roman de Michel Bussi. Nathy, l’héroïne, est hôtesse de l’air, et voyage aux quatre coins de la Terre. Bercé par une bande originale qui parcourt les époques, on s’envole avec des histoires qui se suivent mais ne se ressemblent pas. En quatre escales, Bussi nous emmène à Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, pour nous faire réfléchir sur l’amour et les coïncidences qui peuvent traverser une vie. Un joli voyage dans les airs, idéal pour prendre de la hauteur.
Michel Bussi naît le 29 avril 1965 à Louviers. Dès ses 6 ans, il s'amuse à inventer des jeux de mots et des histoires. Plus tard, il dévore les romans policiers pour adolescents, comme Le Club des cinq ou Alice.
À 18 ans, il entame des études de géographie à l'université de Rouen et se spécialise dans la géographie électorale. Dans les années 1990, il devient lui-même professeur de géographie à l'université et dirige jusqu'en 2016 un laboratoire de recherche du CNRS. Éminent politologue, il est régulièrement sollicité par les médias.
Michel Bussi publie Code Lupin en 2006 aux éditions des Falaises. Ce premier succès le pousse à écrire davantage. L'année suivante, il sort Omaha crimes, qui obtient plusieurs prix régionaux en 2007 et 2008 avant d'être réédité en 2014 aux Presses de la Cité sous le titre Gravé dans le sable. S'ensuivent Mourir sur Seine, Sang Famille et T'en souviens-tu mon Anaïs, nouvelle publiée dans le recueil collectif Les Couleurs de l'instant.
Il faut toutefois attendre 2011 pour que la popularité de Michel Bussi décolle. À présent édité aux Presses de la Cité, il publie Nymphéas Noirs. Ce huis clos fait l'unanimité auprès des critiques et du lectorat. L'ouvrage cumule les récompenses et devient même le roman policier français le plus primé de l'année.
Editions Presses De La Cité. 480 pages. 17,19€