Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier ?
Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça.
Joël Dicker est un écrivain suisse roman né à Genève le 16 juin 1985. Prisé des lecteurs suisses et français, l’auteur est notamment connu pour ses deux romans à succès Les Derniers Jours de nos pères et Le Livre des Baltimore, qui lui ont valu plusieurs distinctions littéraires. Il s’apparente au genre policier et historique.
Joël Dicker naît à Genève en 1985. Fils d’une libraire genevoise et d’un professeur de français, Joël Dicker passe son enfance à Genève et baigne très tôt dans le monde littéraire. Depuis son plus jeune âge, il voue une véritable passion à l’écriture. Alors à peine âgé de 10 ans, il fonde La Gazette des Animaux, une revue sur la nature dont il sera à la tête pendant les sept années suivantes, en parallèle de ses études au collège Madame de Staël.
Au fil du temps, la revue de Joël Dicker fait parler d’elle, si bien que l’écrivain est désigné le « plus jeune rédacteur en chef Suisse » par La Tribune de Genève.
Ce premier succès mènera tout naturellement Joël Dicker à l’écriture de sa première nouvelle à l’âge de 20 ans, intitulée Le Tigre. Publiée en 2005, elle fait mouche auprès des lecteurs helvétiques et Joël Dicker est reconnu une fois de plus comme un jeune écrivain talentueux. Impulsé par les retours positifs que reçoit son premier ouvrage, Joël Dicker décide de poursuivre sur cette voie, tout en intégrant l’université de Genève pour des études de droit en parallèle.
Quatre ans plus tard, Joël Dicker publie son deuxième roman, Les Derniers Jours de nos pères. Il s’attaque alors aux secrets d’histoire en se documentant sur le SOE (Special Operation Executive), une branche sombre et méconnue des services secrets britanniques ayant notamment formé les résistants français durant la Seconde Guerre Mondiale.
Malgré le travail intense de recherche de Joël Dicker pour son premier livre, aucun éditeur n’accepte de le publier au départ. L’auteur décide d’abord de mettre le livre de côté mais finit par persévérer en le soumettant au prix des écrivains genevois. Il remporte la récompense, puis est publié par une maison d’édition de Lausanne, L’Âge d’Homme, en 2010.
Editions De fallois Eds. 576 pages. 23€.